Chaque fois que nous sommes contactés par un gouvernement, une autre ONG, une communauté, un parc national ou une ferme privée, nous envoyons une équipe de consultants sur le terrain concerné afin d’observer et d’analyser la situation, dans le but d’établir un rapport d’évaluation. Cette équipe est composée de spécialistes de Wildlife Angel qui connaissent parfaitement les zones en question et maîtrisant bien les problématiques relatives à l’anti-braconnage.

Dès que le compte-rendu d’évaluation est rédigé, un comité est chargé de recevoir la présentation des auditeurs et de se prononcer sur la suite à donner au projet. 3 cas de figures peuvent alors se présenter.

1. Le comité donne son aval pour le projet et une équipe se voit confier la lourde tâche de mener cette opération à son terme.

2. Malgré l’existence d’une problématique, le comité ne juge pas pertinent la conduite du projet, pour des raisons précisées et justifiées. Une synthèse factuelle est alors adressée au point d’origine du besoin pour spécifier les conclusions du comité.

3. Le comité ne peut statuer avec précision sur le bien-fondé de la conduite du projet. Il nomme alors une seconde équipe d’experts pour se rendre sur la zone concernée et récupérer les informations manquantes pour le besoin de l’instruction du projet.

Dès qu’un projet est validé par le Comité, une partie de l’équipe projet est dépêchée sur place pour organiser la mise en place des opérations. Parallèlement, en France une autre partie de l’équipe a, quant à elle, la responsabilité de collecter les fonds qui vont être investis dans ce projet.